annyeong, mon petit nom est Takahashi Ryô et je suis né(e) le huit janvier quatre-vingt-onze à Nagoya (JP) ce qui fait que j'ai vingt ans. vous voulez savoir quoi d'autre ? mon orientation sexuelle ? c'est un peu indiscret ça, mais si vous y tenez tant.. je suis homosexuelle et fier(e) de l'être ! d'ailleurs mon cœur est sans attache. dans la vie je suis étudiant en quatrième année d'arts, ça t'impressionne hein ? au sein de la vie seoulite, j'aimerais être eager. ah et, avant que j'oublie. je suis un personnage inventé.

Qui s'intéresse à l'histoire d'un gamin d'une vingtaine d'années ? Ai-je vraiment besoin de raconter toutes ses conneries ? Bon, très bien, mais pour cela, je dois certainement vous raconter leur histoire avant la mienne. Je suis né d'un père japonais et d'une mère coréenne qui est venue vivre au Japon lorsqu'elle était âgée de dix ans. À l'époque où je n'avais pas encore vu le jour, mes chers et heureux parents s'étaient rencontrés à plusieurs reprises dans leur établissement scolaire où ils étaient encore que collégiens. À ce que j'ai pu entendre dire, ils avaient même pût fréquenter la même classe une fois, peut-être deux. C'est sans aucun doute pour cette raison qu'ils sont devenus, en quelque sorte des amis inséparables. Alors qu'il était temps qu'ils pour eux d'entrer dans des écoles universitaires, leur destinée en avait décidé autrement en les séparant pendant une très, très longue période. J'ai appris que mes grands-parents maternels étaient tellement strictes qu'un string étiré, qu'ils avaient prit la décision d'inscrire ma mère dans une école privée et uniquement destinée pour les jeunes demoiselles à une centaine de kilomètres de là. Mon père, lui en avait eu le cœur brisé et avait dût surmonter cette peine tout en suivant des études dans sa ville natale, à Nagoya. Finalement, leurs avenirs avaient dût se rendre compte de leur tristesse d'être séparé qu'au plus grand des hasards, un jour, ils purent à nouveau se rencontrer grâce à des amis qu'ils avaient en commun. Alors, ils étaient donc destinés à vivre ensemble jusqu'à la fin de leur vie ? Vraiment ? Comme toutes bonnes personnes se respectant sur cette terre, ils finirent par se rencontrer encore une fois, à se retrouver en dehors de leur travail respectif pour finalement sortir ensemble, se marier et me mettre au monde la nuit du huit janvier mille-neuf-cent-quatre-vingt-onze. Désormais, ils étaient âgés d'une quarantaine d'années, tout semblait être parfait et malgré moi, je grandis en tant qu'enfant unique. Pour ne jamais me plaindre, mes parents avaient trouvés cette idée ignoble de tout m'offrir sur un plateau d'argent pour compenser leur absence dût à leur travail. Au début, je suivis mes études brillamment. Personne n'avait le besoin de se plaindre de mes résultats ni de mon comportement. Un vrai petit ange, mon œil ! C'était simplement une belle et pure connerie jamais imaginée.

Du jour au lendemain, tout a changé.

Il s'est passé tellement de choses en très peu de temps. Je venais de fêter mes dix-sept ans lorsque les problèmes ont commencés à surgir. Encore aujourd'hui, je ne parviens pas à comprendre le pourquoi du comment. Par exemple, je me demande depuis cet instant, pourquoi est-ce qu'il a fallut que toutes ses histoires tombent sur ma famille ? Depuis quelques mois, ma mère devenait une dévergondée. Elle ne faisait que mentir, elle détenait un nombre incalculable de mensonges à son égard. Quant à mon père, il n'avait rien vu venir. Il était tellement débordé par son travail que ma mère lui disait qu'elle rejoignait des amies pour se détendre un peu. Cependant, j'ai découvert la triste vérité un soir où j'étais de sortie avec un de mes meilleurs amis. Je n'avais fais que de la suivre des yeux, j'étais bien trop effrayé à l'idée de me faire remarquer, mais il fallait à tout prix que je sache et que je comprenne quelle face mystérieuse se cachait en elle. En réalité, elle allait fréquenter des endroits totalement imprévus pour une femme mariée depuis une dizaine d'années. Elle en profitait sûrement pour s'envoyer en l'air dans des hôtels miteux avec son amant, ou ses amants. Je n'ai jamais su combien il y en avait eu exactement... Je n'ai jamais pût mettre un mot à cette histoire, j'étais totalement désarmé au point qu'elle m'en filait une envie de vomir rien qu'en la regardant sourire. J'avais développé une haine inimaginable envers cette femme qui était censé être l'amour de la vie de mon pauvre et stupide père qui en était devenu aveugle. Je la haïssais et je la haïs toujours. J'ai tenu un bon nombre de propos ignobles. En y repensant, je suis très mal placé pour avoir dit ce genre de choses, je le sais pourtant que j'ai finis par lui ressembler quelque part, mais elle... Elle avait prêtée le serment de vivre fidèle, comblée et heureuse malgré toutes les galères qui pouvaient arriver aux côtés de mon 'vieux'. Je lui en ai voulu de ne pas avoir dit clairement ce qu'elle pensait, au lieu de cela, elle préférait s'enterrer dans une tombe remplie de mensonges impardonnables. Je souhaitais au plus profond de mon être qu'elle se fasse remarquer et il en avait fallut du temps. Beaucoup de temps, ce n'est qu'au bout d'un an et demi que mon père s'était rendu compte de cette supercherie. À cause de sa carrière d'architecte, il n'en avait pas vu la moindre miette. Il avait juste eu la nécessité de voir un mec dans son lit à sa place et voilà que le tour était joué.

Les semaines, les mois suivant n'ont été que des querelles à longueur de journées. Elles avaient finit par combler le silence morbide qui s'était gentiment installé entre eux. Cette maison familiale était devenue qu'un bordel. L'ambiance me fatiguait, je ne parvenais plus à y foutre les pieds en espérant une tranquillité. J'en étais tellement écœuré que je préférais sortir toute la nuit, m'absentant jusqu'à l'aube s'il le fallait. En réalité, ça faisait quelques mois que j'avais compris comment vivre ma vie pleinement sans me soucier de tous ses problèmes. Mes soirées n'étaient pas aussi sage que ce qu'on peut imaginer et je laissais transparaître aux yeux de tout le monde que je logeais juste chez un ami pour faire des devoirs.

Enfin et pour une bonne fois pour toute, mes parents avaient décidés de se séparer. Je pouvais réapprendre à respirer à l'intérieur de cette maison qui m'était devenu invivable. Enfin, c'est ce que je croyais. Après cette rude épreuve et cette histoire de divorce qui dévasta complètement le moral de mon père, il décida pour se changer les idées de nous improviser un voyage de quelques semaines de vacances dans le coin de Séoul. C'était bien mon malheur de mettre les pieds là-bas. J'aurai préféré rester à Nagoya et continuer ma bonne petite routine, mais malheureusement, elle allait changé. Durant ce voyage, mon père fit la rencontre d'une nouvelle femme. Une espèce de morue constamment mal-lunée qui m'ait insupportable. Cette chère madame n'a rien trouvé de mieux que de faire les beaux yeux à mon père qui en devint fou amoureux. J'avais cru à une simple amourette de vacances, je m'étais bien trompé. Cette bonne-femme devint rapidement ma belle-mère et je devenais en plus, le grand frère d'une gamine aussi insupportable que sa propre mère. Je n'ai jamais eu confiance en ces deux pestes, la vieille n'avait rien trouvé de mieux que de tout faire quitter à mon père pour que nous les rejoignons dans sa chère et tendre Corée-du-Sud adorée. Nous avons été dans l'obligation de faire nos adieux à notre petite vie japonaise pour partir à la rencontre d'une nouvelle vie, dans un autre pays. Heureusement que j'ai eu une mère de nationalité coréenne pour m'avoir appris cette langue que je devais dorénavant employer. Arrivé à Séoul, nous avons reprit notre petite vie. Mon père retrouva un travail dans un cabinet d'architecte tandis que je continuais mes études. J'ai dût également apprendre le véritable visage de ma 'demi-sœur'. En réalité, elle n'est pas si mauvais que cela, c'est tellement plus amusant de s'amuser à deux dans des soirées loufoques. C'est grâce à cela que je suis plutôt ravi d'avoir une sorte de confidente qui peut me cacher de toutes ses conneries et vice-versa.

Il est temps que je vous parle de ses soirées.

J'avais finis par créer, moi aussi, un mensonge de toute pièce. Après tout, une certaine personne m'en avait cité par millier, pourquoi pas moi ? Encore actuellement, je me rend à ses nombreuses soirées rythmées au son de la musique forte, celle qui vous rend sourd, celle qui vous rend complètement dingue, celle qui vous achève. Elle a toujours cette affreuse odeur de cigarette mélangée entre la drogue et l'alcool qui coule à flot. C'est tellement amusant de s'intéresser pendant un court instant, peut-être même quelques heures, à un type en particulier. La première fois que j'ai rencontré ce genre de mec, ils vous semblent si malheureux. Ils semblent retransmettre leur vie bien trop solitaire, bien trop maussade. Ils n'ont personne dans leur vie et cherche en vain une âme sœur à qui tant donner. La plupart de ces mecs sont bourrés d'argent, au point qu'ils ne savent plus quoi en faire. Chaque soirs, vous en croisez des nouveaux. Lorsque vous le rencontrez du regard, vous le faîtes ensuite rapidement craqué en dévoilant tous vos atouts, mais aussi tout votre charme. Finalement, vous vous retrouvez dans ses draps à plusieurs reprises, mais il souhaite tellement vous revoir, qu'il vous comble de mille et une choses. Ils sont tellement effrayés de retrouver leur solitude qu'il vous offre tout leur or. C'est là que la machine s'active. Vous en arrivez à ce stade où vous lui faîtes dépenser des millions rien que pour vos beaux yeux. Ça, ça a toujours été le plus beau cadeau que l'on pouvait me faire. J'agissais certainement de cette manière face à l'attitude parfaite que m'avais montré mes chers parents autrefois mariés. J'avais finis par comprendre que pour être comblé, il n'y avait que le sexe et l'argent. Ses histoires peuvent aller très loin, j'en suis conscients, mais je m'en fous royalement. J'obtiens ce que je désire plus que tout, je n'ai aucune attache avec qui que se soit et je vis tel un courant d'air passant à travers une porte. Ça me rend heureux, j'en ai toujours eu rien à cirer de ses préjugés. J'en ai tout simplement rien à faire que se qu'il peut se passer, même les pires emmerdes que je peux avoir ne m'effraie pas. Ça m'amuse toujours plutôt qu'autre chose.

mon pseudo est SAE et j'ai actuellement vingt-trois ans. je ne suis pas un alien, non non, je vis simplement en/au France et sur le forum je jouerai Mizuki | SADIE. ce compte est d'ailleurs mon premier j'ai connu le forum sur/par Top-Site. je pense être présent(e) environ 5/7. quant à mon niveau de rp, je dois faire environ environ plus de 1 000 mots en moyenne par rp, c'est pas mal hein ? le mot magique est « ok, by doo.♥ » et avant de terminer ma fiche, je rajouterai une dernière chose : J'ai faim o/