You can suck your «sorry» out of my d*ck later.



 
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 You can suck your «sorry» out of my d*ck later.

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MessageSujet: You can suck your «sorry» out of my d*ck later.   You can suck your «sorry» out of my d*ck later. EmptyMer 11 Avr - 16:40

You can suck your «sorry»
out of my d*ck later.

AJOUTER UNE EN-TÊTE ICI, J'AI LA FLEMME.
Il est quelque chose comme minuit et demi ou une heure moins dix du matin. À moins qu’il soit deux heures? Ou peut-être bien une heure et demie, franchement, j’pourrais pas vous le dire. J’en suis à ma quelque chose comme première, deuxième, ou troisième bière et puis merde, qu’est-ce que j’en ai à branler? Tout ce que j’sais, c’est que je n’ai toujours pas assez d’alcool dans le système nerveux pour m’faire oublier que j’suis à la soirée la plus merdique de ma vie. À bien y penser, rayé ça : je n’ai toujours pas assez d’alcool dans le système nerveux pour considérer le commun des mortels plus divertissant que mon propre reflet dans le miroir. Sérieux, je ne vais pas vous raconter des conneries, j’ai beau m’observer dans tous les angles possibles et je reste quand même le truc le plus bandant que je n’ai jamais vu de ma vie. Même quand j’ai la tête d’un mec qui est sur le point de commettre un suicide en se jetant en bas de son sofa, vous vous imaginez? Le truc c’est que, même avec un peu d’volonté, je ne crois pas j’réussirais à m’rompre le cou sur la carpette du salon et mettre fin au supplice qu’est la fête d’anniversaire d’un des mecs qui aime se considéré comme mon « ami ». Ouais, je dis « ami » parce que, sincèrement, il pourrait tout aussi bien s’considérer comme ma maitresse ou j’sais pas, une des tantes éloignées du coté d’ma mère et que ça se rapprocherait carrément tout autant de la vérité. Je parle chinois? Ouais ça m’arrive. Chin chong sayonara tiki ming, vous voyez? En gros, les rêves c’était beau, sauf qu’être pote avec moi, ça relevait carrément du fantasme. Dans le genre vidéo porno avec trois blondes langoureuses en uniforme d’écolière qui te demande si tu veux qu’elles t’appellent papa, soit le genre de truc qu’il n’aurait surement jamais la chance d’avoir dans la vie, tout comme ma si précieuse amitié, pigé? Au moins, je suis sincère avec lui : ce n’est pas comme si j’fessais semblant d’être intéressé parce qu’il me racontait. Je fessais même l’effort d’avoir l’aire un max désintéressé en fixant un point derrière son épaule qui, à mon plus grand bonheur, était le miroir qui fessait l’entièreté du mur droit de son salon. La veine, je pouvais manquer un max' de respect à l'investigateur de la soirée et même m’observer en le fessant. Si ce n’était pas de la chance, ça, hein? Écouté, c’est franchement trop m’demander et j’étais vachement plus préoccupé à savoir si l’angle de mes cheveux étais en parfaite harmonie avec la ligne sensuellement sinueuse de ma mâchoire. Le genre de truc que même le cancer du poumon de ton père, ou le tremblement de terre du Japon ne pouvait pas décalé de ma liste de priorité. Ouais, je sais, j’avais toujours été un grand humaniste. C’est d'ailleurs pour ça qu’après... Merde, ça fait juste dix minutes que je l’écoute? Allons-y pour dix minutes de supplice et de bénévolat pour les handicapés de mon quartier (ajoutez la gentillesse à la longue liste de ce qui fait d’moi un homme bien.) je décidai de faire savoir mon désarroi de la façon la plus délicate possible:

« Pas que t’es chiant mec mais… Attend, ouais, c’est totalement ça. Si tu ne veux pas m’faire crever d’ennui, j’vais te refiler un billet de cinq mille won et tu vas aller t’chercher une autre cruche pour t’écouter. Moi? Je vais aller rendre visite à mon meilleur ami, vodka et essayé de trouver un sens à ma vie. Préférablement, entre les jambes d’une nana, si tu vois ce que je veux dire. »

Et comme promis, je le plante la comme le parfait enfoiré que j’suis et avec comme seul regret, celui d’avoir à m’arracher de l’adonis qui se reflète dans la glace. Adieu, beau gosse et t’en fais pas, on s’retrouvera bien assez tôt. Je jette rapidement un clin d’œil à mon reflet dans la glace et m’apprête à faire demi-tour, en me disant que j’avais vraiment besoin d’un bon coup : essayer d’faire du charme à un miroir, ça passait toujours mieux après quatre ou cinq verres. Je sais pas si c’est dieu qui à décider de s’montrer clément, mais j’n’ai pas fait deux pas, que l’alcool m’a déjà trouvé. Style renversé partout sur mes putain de fringues, parce qu’il y a un enfoiré d’aveugle qui a décidé de me rentrer dedans, bordel. Surpris pour la soudaine tiédeur, je lâche un joli chapelet de juron et crache un truc du genre: « What the heck, dude, whatch your effin’ step! » Je repousse le connard qui à ruiné mes fringues par les épaules et baise les yeux pour contempler avec horreur le désastre. Putain, c’est du Armani, vous savez combien ça coute? Y’a pas la moindre de chance, alors ne faites pas comme si vous compreniez, bande d’emmerdeurs. « Fucking asshole… » Je sers les dents et prend une grande respiration, c’mec est foutument mieux d’avoir le numéro d’un bon nettoyeur. Profondément contrarié, je lève les yeux de mon corps de rêve et croise enfin le regard de mon agresseur. Je fronce les sourcils, étonné. Bordel, c’est encore mieux que je l’imaginais : c’est une meuf et je ne peux même pas m’empêcher d’me faire une ou deux blagues sexistes dans ma tête, sur les nanas et la laveuse. Ouais, j’suis adorable comme ça, pas la peine de me le rappeler. Tandis que l’ombre d’un sourire étire mes lèvres et je lui jette, du tac au tac :

« Je sais que j’ai l’air trop beau pour être vrai, mais t’avais pas besoin de me renverser ton verre dessus pour t’en assurer, chérie… » Je lui jette un regard désapprobateur et en profite la narguer de haut en bas. Il fait pas mal noir et je peine à discerner ses traits, mais je peux vous dire qu’elle à des putains de belles jambes et pour ma part, c’est tout ce qui compte. J’approuve silencieusement ce que je vois, d’un sourire à peine camouflé. « T’es pas du genre à passer inaperçue toi, hein? Si tu veux te faire pardonner, je vois bien un ou deux moyens d’y arriver… » Je voudrais dire que c’est l’alcool qui m’fait dire des conneries, mais ça serait surement vous mentir, pas vrai?
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Yuan Cheng Lin
Yuan Cheng Lin

❖ wonderful pawns.
they became useful as pawns in a game of chess.

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MessageSujet: Re: You can suck your «sorry» out of my d*ck later.   You can suck your «sorry» out of my d*ck later. EmptySam 21 Avr - 1:16

Cheng Lin n'a jamais était une fêtarde, oh que non. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, la jeune femme est bien plus du genre à préférer passer ses soirées chez elle à bouquiner, ou à regarder un truc à la télé. Sortir, aller à des fêtes... C'est loin d'être son passe-temps préféré. Pourtant la miss s'est bougée le popotin, à contre-coeur. Pourquoi ? Pour cause de harcèlement. Elle aurait très bien pu aller porter plainte, mais dur dur de porter plainte lorsque le harcèlement vient de la part de votre entourage proche ou, en d'autres termes... De vos propres amis. Elle devait aller à cette fête, voilà ce qu'ils lui avaient répété durant des jours, des jours, des jours et des jours. Ils ne l'avaient pas vu depuis tellement longtemps, elle leur manquait, elle avait tellement grandi, il fallait qu'ils la revoient, il fallait qu'elle quitte ses bouquins un instant, il fallait qu'elle y aille, point à la ligne. C'est ainsi qu'après de longues discussions et de longues argumentations acharnées – mais sans succès – elle finit par se rendre à cette fichue fête, même en ayant aucune envie de s'y retrouver. Oh ? Sa tenue ? Elle se contenta d'enfiler un short un peu court, en cuir, ainsi qu'un haut de la même matière. On dira ce que l'on voudra, mais les vêtements en cuir lui vont tout simplement à merveille. Plus c'est moulant, mieux son corps est montré, et plus elle est attirante. Oh, au départ elle ne voulait pas débarquer habillée comme ça. Une amie avait insisté. Comme quoi, il fallait qu'elle se montre féminine, sexy et j'en passe. Eh bien oui. Tous ses amis qu'elle allait revoir... L'avaient vu pour la dernière fois lorsqu'elle était une gamine. Enfin, une jeune ado. Du moins, pour la plus part d'entre eux. Elle devait leur prouver qu'elle était une « femme ». La blague. M'enfin, vu qu'elle lui avait pris la tête... Elle avait fini par fléchir devant elle aussi, et par accepter, enfilant finalement une tenue toute moulante.

Donc, en clair, la jeune chinoise avait fait beaucoup de concessions durant cette soirée, tentant de faire plaisir un peu à tout le monde. C'était une belle nouveauté, elle qui d'habitude se montrait têtue comme une mule. Mais elle ne voulait pas de prise de tête, oh que non. Y aller, y rester un peu, puis en revenir. Voilà, cela allait être aussi simple que ça ! Justement, ce fut l'un de ses vieux amis qui vint la chercher à domicile. Et au premier coup d'oeil, il eut du mal à la reconnaître. L'expression sur son visage suffisait amplement pour le montrer. Choqué ? Surpris ? Il s'attendait peut-être à revoir l'adolescence de 16 ans qu'elle était. Mais non, elle ne l'était plus. Désormais, elle était une femme. Plus grande, avec des airs plus adultes, des formes bien plus apparentes. Enfin, il avait l'air surpris et non déçu, c'était l'important, non ? La jeune femme monta dans la voiture, et discuta tant bien que mal avec lui. Oui, car après tout ce temps... Elle avait l'impression de parler avec un inconnu. Surtout que son regard sur elle n'était plus exactement le même. Rien d'étonnant me diriez-vous, mais tout de même. Enfin, car il faut dire que la plus part des amis que la jeune femme va revoir dans cette soirée sont bien plus âgés qu'elle puisqu'ils sont à la base des amis... D'Iseul. Ce nom à lui seul suffisait à lui donner des frissons, eeeeeer. M'enfin, elle n'allait pas y penser. Elle n'y pensait pas, de toute manière. Cela faisait depuis tellement longtemps ! Il n'existait plus, ni dans son esprit, ni dans sa vie. De toute manière il était désormais aux Etats-Unis. Sûrement en train de fricoter avec des pouffes, ici et là, on ne change jamais sa nature. Mais Iseul était de l'histoire ancienne. Elle avait tourné la page, et depuis des lustres.

Puis elle arriva à la fête. Les compliments fusaient, et ce n'était pas désagréable à entendre. Mais, honnêtement, elle aurait aimé entendre autre chose à la place. Des compliments sur sa réussite scolaire, sur sa manière d'arriver toujours à tout gérer d'une main de maître malgré les bâtons que lui mettaient ses parents dans les roues. Mais rien. Tout ce à quoi elle avait droit était « Ah bah oui, t'as bien changé, t'es devenue encore plus sexy ! Déjà qu'avant t'étais en avance sur ton âge, maintenant tu déchires tout ! ». Et à ce genre de remarque, elle répondait avec un sourire de circonstance, un rire un peu forcé et un « Merci. ». Puis alors qu'elle marchait avec une boisson dans la main, l'un de ces jeunes garçons vint lui donner une tape dans le dos, lui disant qu'il allait leur chercher d'autres boissons. Seul petit hic ? En lui donnant une tape dans le dos, elle s'avança un peu trop, et trébucha, déversant le contenu du peu de boisson qu'il lui restait sur un monsieur bien mal luné. C'est la déduction qu'elle pouvait faire en l'entendant lui envoyer en pleine face toutes ces injures.
« Je sais que j’ai l’air trop beau pour être vrai, mais t’avais pas besoin de me renverser ton verre dessus pour t’en assurer, chérie… » Ah non. Finalement ce n'était plus des injures. La jeune femme eut du mal à voir son visage, il faisait bien trop sombre. Mais elle ne se gêna pas pour le reluquer, tout comme il le faisait pour elle. « T’es pas du genre à passer inaperçue toi, hein? Si tu veux te faire pardonner, je vois bien un ou deux moyens d’y arriver… » Cheng Lin laissa échapper un petit rire, comme amusée par ce qu'il venait de dire. Passer inaperçue, non... Mais, se faire pardonner, un moyen ou deux d'y arriver ? Vu son sourire, vu son attitude, vu la personne qu'il devait être... « Et qui te dit que j'ai envie de me faire pardonner, hein ? » Elle laissa tomber le verre à leurs pieds – qui, dieu soit loué, était en plastique –. « Et puis... Chérie. Aha. T'es bien drôle toi. On ne se connaît pas, mon chou. Garde ce genre de surnoms pour tes conquêtes. Je comptais m'excuser au départ, mais c'est drôle comme j'ai changé d'avis tout d'un coup. » Elle avait un petit sourire effronté sur le visage. Oh, autant dire la vérité, Cheng Lin n'était pas du genre à baisser la tête, à s'excuser et à dire amen. Ses excuses, il fallait les mériter. Bref, alors qu'elle s'apprêtait à continuer sa petite « discussion », de nouveau, la voix de l'un de ses amis retentit dans toute la pièce. « CHENG LIN ! Pointe-toi, y a l'autre qui vient d'arriver et qui veut te voir ! » L'autre ? Un autre ami, sûrement. Elle était devenue l'attraction principale de la bande d'amis. Chacun voulait voir la différence entre l'avant et l'après. Elle laissa échapper un petit soupire. « Oui, j'arrive, j'arrive ! » dit-elle en faisant volte-face, s'apprêtant déjà à repartir, laissant le jeune homme qu'elle venait de bousculer derrière elle.
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