annyeong, mon petit nom est Kim Iseul, mais pour vous, ça va être maître, seigneur où le mec le plus parfait que la terre n’est jamais porté. Je laisse ça à votre discrétion, ok? et je suis né(e) le 7 juillet, est la journée où j’ai fait don de ma présence au monde, pas la peine de me remercier à Séoul, faute de place en enfer. ce qui fait que j'ai 23 ans et toutes mes dents. vous voulez savoir quoi d'autre ? mon orientation sexuel ? c'est un peu indiscret ça, mais si vous y tenez tant.. je suis à tout ce qui est visuellement agréable, féminin et qui implique du bon cul. De préférence qui e s’attendre pas à ce qu’on lui tienne la porte et qui pige que, pour toujours, ça dure généralement une nuit. et fier(e) de l'être ! d'ailleurs mon cœur est à mon reflet dans le miroir, faites gaffe, il est du type jaloux. dans la vie je suis emmerdeur professionnel et ça m'arrive de m'branler dans les bureaux d'la compagnie de papa., ça t'impressionne hein ? au sein de la vie seoulite, j'aimerais être un enfoiré de première, sérieux, j’en ai pas grand chose à foutre (eager, après réflexion~). ah et, avant que j'oublie. je suis un Sublime, beau, parfait et ouais, je déconne : je suis merveilleusement bien inventé.

Bon, d’accord, on va faire ça court. Entre vous et moi, y’a personne qui a envie de se taper le résumé des 23 années de ma vie. Je vais même vous faire une faveur et passer directe à l’essentiel, soit : pourquoi est-ce que vous m’arriverez jamais à la cheville. Ouais je sais, comme début, c’est plutôt modeste, pas vrai? Pas la peine de tirer cette tête, j’sais bien que vous êtes juste jaloux d’pas y avoir pensé avant. Alors, avant de commencer, je vais même vous faire une deuxième faveur. Si vous êtes du type désillusionné, qui préfère m’imagine comme la réincarnation du messie, donnez vous pas la peine de lire ce qui suit : j’voudrais pas perdre les trois ou quatre membres de mon fan-club que je n’ai pas encore baissé. Merde, j’ai dit baissé? Je voulais dire; gracié humblement d’un aller sans retour au septième ciel avec ma merveilleuse personne. Pas la peine de me remercier, tout le plaisir était mien. Bref, trêve d’"humblerie", j’en étais où? Ha ouais, au pourquoi vous auriez jamais du sortir d’entre les jambes de votre mère, sauf si c’était pour me vénérer. Franchement, je dois vraiment vous faire un dessin? Prenez un moment et regardez-vous dans le miroir. Avant de vous mettre à pleurer, prenez trois secondes de plus et jetez un coup d’œil dans ma direction. Maintenant, retournez à votre reflet pitoyable et tâchez de ne pas être malade trop rapidement : malheureusement, vous ne serez jamais aussi bien que moi. Si jamais vous êtes pris d’une soudaine envie de vous cacher dans votre garde-robe en demandant à dieu pourquoi il est si injuste et cruel? Allez y, je ne vous retiens pas! Moi, un enfoiré? Ouais, du plus loin que je me rappeler, j’lai toujours été. Ce n’est pas mêlant, j’avais pas encore trois ans que je retournais les jupes des nanas et frottait mes transformers sur l’auto de papa. Ouais, je sais, j’étais franchement trop adorable comme gamin. Genre, les dix premières minutes, juste avant que je me décide a tester les lois de la gravité avec ta nouvelle télé et les escaliers. Heureusement pour ma jolie frimousse, y’a rien que l’argent ne peu pas acheter, y compris votre pardon ou une ou deux jambes cassées. Les gamins Kim, ce n’est pas le genre de personne avec lequel vous voulez déconner, sauf si vous aviez un penchant sadique ou que vous aviez une soudaine envie de mettre fin à vos jours. Enfin, j’dis « les gamins », mais tout le monde sait que j’ai toujours été le chouchou de la belle famille. Avec raison, sérieux, vous avez vu ce corps d’adonis bourré de talent brut? Pas étonnant que mon frère s’retrouve à manger les restes, vu sa tronche, même mon père était pas assez con pour vouloir de lui comme héritier. Oups, j’ai dit con? Faites-vous pas d’idée, mon père, ça m’arrive de le respecter. Ouais, même qu’avec un mille ou deux de plus dans mon compte en banque, il m’arrive même de descendre à la baraque familiale pour souper. Vous, vous attendiez à quoi, un putain d’conte de fées? Je n’ai peut-être pas grandi au pays des merveilles, mais je vous assure que j’ai vécu très heureux et sans les enfants. Les saintes-nitouches qui vous on raconté que l’amour parental, c’était inépuisable et surtout indispensable, vomissent très certainement des arcs-en-ciel après avoir maté dora l’exploratrice à la télé. Personnellement, j’ai grandi seul, riche à pondre des billets de mille par les narines et surtout très heureux de ne pas avoir mes parents dans le cul pour me dire de rentrer à neuf heures les soirs de semaine. Le truc, c’était d’avoir des bonnes notes à l’école, d’éviter de noyer mon frère dans la baignoire et de ne pas les mettre au courant si je décidais de m’envoyer en l’air avec tout ce qui avait des nichons et qui acceptait de se pencher devant mon humble personne. Aussitôt dis, aussitôt fait, quoi. En dehors d’la partie du frangin, toutefois: ce qu’on ne sait pas ne peut pas nous faire du mal, hein? Ouais, rapide comme ça, j’étais clairement l’exemple à suivre pour les centaines de générations qui devait venir après moi. Sauf que je suis loin d’être parfait, vous savez? Attendez, j’retire ça : je suis l’truc le plus parfait que la terre est pas porté, n’oubliez pas de m’ouvrir une église et d’appeler vos enfants par mon prénom. Le seul défaut que je n’ai jamais eu, c’est d’avoir cru un jour que les nanas, c’était peut-être pas juste des pièces de viande avec deux trous. Sauf qu’être en couple, ce n’est pas le genre d’erreur que tu fais deux fois, quand tu connais les joies du célibat. Pour ma défense, j’étais con, jeune, stupide et j’avais peut-être regardé trop de porno ou le jardinier s’joignait au couple de comptables lors de leur partouze dans la piscine. La plus grosse erreur de ma vie, ça lui arrivait d’porter un nom, mais je vais me faire un plaisir de l’oublier. Elle m’a quand même duré plus longtemps qu’une maladie vénérienne bien soignée et j’dis pas ça en connaissance de cause, mais seulement parce que je n’ai pas trouvé un truc plus fidèle pour la comparer. Même qu’encore là, je suis quasiment trop gentil et ce n’est même pas la peine de me lancer des fleurs. Trois ans d’entremêlage, de déchirage et de recollage, on n’était pas un couple, mais un foutu bouquin de scrapbooking. Au début, c’était juste un tripe de cul, qui a mal tourné : elle était une gosse de bonne famille et moi, j’étais le sale mec qui devait la briser. Ça c’est même fait plutôt bien, vous savez? Vous auriez dû voir la tête de ses parents quand elle me les a présentés et que j’ai solennellement juré d’avoir utilisé un condom, la première fois où je l’avais sauté. Quand j’y repense, en dehors de m’donner la nausée, ça me fait quand même bien marre. Y’a pas eu que du mal pendant c’est quatre pénibles et longues années, le vrai problème, il à commencé au moment ou les sentiments on décidé de s’en mêler. Rendu à ce point, je ne vais pas vous lire la bible non plus : j’suis pas du type à qui on décroche des lanternes en m’crachant que c’est la lune. C’est tout et y’a pas de rien, ou j’risque de t’en faire baver encore plus qu’un pitbull qui a la rage et qui à pas bouffé depuis trois semaines. Sur ce, je vous laisse deviner à quoi ça carbure un Iseul qui croit en l’amour et j’te jure que c’est pas juste de l’eau fraiche. Disons que j’ai cette maladie, qu’on appelle avidité et qui, parfois, m’pousse à faire des belles conneries. En résumé, si je suis assez gentil pour te faire mienne, évite de faire les yeux doux à tout ce qui a un pénis, ou y’a pas que la vierge marie qui va se faire jeter des pierres. Jaloux? Je préfère méfiant, mais c’est comme vous voulez hein. Au final, j’restais quand même le pire des enfoirés misogynes qui ne voulait pas que sa nana se pointe à moins de dix kilomètres d’un mec, sous peine de lui déballer l’entièreté des synonymes de trainée et un paquet d’insultes plus ou moins sexiste qui lui rappelaient sa place dans la cuisine. Un vrai enculé? Attendez , j’ai pas encore terminé. Après les crises, y’avait le passage ou je me tapais sa meilleure amie, juste pour lui montré qu’est-ce que ça fessais de se faire tromper. Si par trompé, on s’entendait pour dire qu’il s’agissait d’la fois ou elle avait diné avec des potes de l'école, s’en avoir pris la peine de m’inviter. Pas besoin de vous dire que pour notre bien-être commun, ce n’était quand même pas du luxe de rompre après quatre ans. J’voudrais vous dire que c’est moi qui l’ai largué, mais sincèrement, je crois bien que j’en aurais jamais été capable. Je ne suis pas un romantique dans l’âme, mais, au fond, y’avait surement une petite partie de moi qui l’aimait sincèrement. L’autre? Elle était en parfait déni et à préféré s’exiler trois ans aux united-state, que de s’avouer qu’il avait été un bel enfoiré. Faut pas me blâmer, je suis quand même grandi avec l’idée que j’étais le nombril du monde et que je méritais bien un trône, si ce n’était pas deux. La seule personne à pointer du doigt, entre vous et moi, c’était la conasse qui avait tenté de faire de moi un homme meilleur. Ouais, c’est ce que je me racontais la nuit, question de dormir la conscience tranquille et je vous assure que ça marchait très bien, merci de vous en soucier. C’est donc en étant le mec super responsable que je suis, que je me suis exilé à Los Angeles, pour les trois prochaines années de ma remarquable vie. À l’horaire? Oublier la meuf que j’avais comparé à une maladie vénérienne, coucher avec un max d’étrangère et éventuellement terminer mes études universitaires en « Business Economics », question d’savoir comment extirper un paquet de fric aux bonnes gens du tiers monde sans avoir a quitter le luxe de mon éventuel fauteuil de cuir. Il faut de l’ambition dans la vie, ils disent et personnellement, je crois plus au dicton qui dit que le malheur des uns fais le bonheur des autres. Au final, du moment que je finis les poches bourrées de fric, j’me foutais bien de savoir sur qui j’allais devoir marcher pour me rendre jusque-là. Encore aujourd’hui, mon incomparable morale sociale reste un point déterminant de ma personnalité. Ça et mon respect incroyable pour la gent féminine, vous dénoterez le sarcasme. Bref, après ce qui fut surement les trois plus belles années de ma vie, sans compter celle de ma naissance, je m’auto-rapatriât dans notre agréable pays, grand de mon bilinguisme et de mon joli diplôme dans son petit cadre lustré. La nana qui avait été la cause primaire de mon départ au pays du fast-foods et des obèses? Complètement oubliée, avec l’once d’humilité et le peu d’humanité qui devait me rester. Ouais, je suis plus connard que jamais et franchement, très heureux de l’être : pensez à prier pour moi, la prochaine fois que vous irez à la messe.

mon pseudo est todd, pour me servir et j'ai actuellement Entre 5 et 60 ans, je vous laisse deviner ♥. je ne suis pas un alien, non non, je vis simplement en/au Avec les ours polaires, au Canada. et sur le forum je jouerai Kwon Ji Yong. ce compte est d'ailleurs mon premier et dernier! j'ai connu le forum sur/par les beaux yeux de Tsuu~ sijesuispasromantique. je pense être présent(e) environ trop souvent, ouais. quant à mon niveau de rp, je dois faire environ entre deux et quatre pages word, j'suis adaptable. o/ mots en moyenne par rp, c'est pas mal hein ? le mot magique est validé par mushroom.♥ et avant de terminer ma fiche, je rajouterai une dernière chose : Normalement, je termine ça rapidement, sauf si y'a un avion qui défonce ma maison entre temps. Une catastrophe est si vite arrivée?